La solitude
Ou plutôt l’angoisse de celle ci, que tu connais et dont tu as plus ou moins conscience.
Celle qui te fait éviter se rester chez toi seul trop longtemps.
Celle qui te pousse à gérer des soirées ou des événements au delà du fait que ça te plaît.
Celle qui t’oblige à aller voir untel ou untel, parce que il faut. Parce que tu as promis. Parce que ça fait bien aussi dans ton planning rempli d’avoir tous ces dates.
Potentiellement celle qui te fait faire des mauvais choix (souvent le cerveau des hypersensibles va vite, très vite, trop vite, et les réactions en chaînes foncent plus vite que la lumière).
Par peur d’être seul ou de ne pas ressentir l’amour ou l’affection des autres proches de toi.
Parce que en fait, cet extérieur est ton pilier, ton repère.
Sans ça, tu ne te définis pas où difficilement, et c’est sournois aussi être avec des autres t’évite d’entendre ce qu’il se passe en toi, bon comme moins positif.
Parfois même et sans t’en rendre compte, c’est ce même extérieur qui peut te plomber, mais tu y vas quand même parce que tu en as besoin.

